Archives de la Somme/actus/février 2021
Salle de lecture
ouverte du lundi au jeudi de 9h à 17h
12 places disponibles dont 6 réservables pour des chercheurs professionnels en activité
au 03 60 03 49 50
désormais vous bénéficiez d'un accès gratuit à la base Ancestry en salle de lecture
________________________________________
Site internet
Enquête nationale auprès des internautes des sites d'archives, du 18 janvier au 18 mars 2021
Votre avis nous intéresse : il nous permettra de mieux vous connaître pour mieux répondre à vos attentes.
Merci par avance de prendre quelques minutes pour répondre à l'enquête, et de le faire à l’issue de votre visite sur notre site.
https://cvip.sphinxonline.net/surveyser ... gine=Somme
Bonne navigation !!!
______________________________________
Quelques entrées d'archives
publiques et privées en 2020 (classées ou en cours)
Les archives de l'école communale d'Autheux 1940-1980 (194 W)
Les archives anciennes des communes de Beaumont-Hamel, Guizancourt, Poulainville,
Beauchamps, Glisy, Eterpigny, Saint-Blimont, Sénarpont (série E_DEP)
Direction de l'équipement : fonds de la subdivision de Domart-en Ponthieu,1849-1979 (180 W)
Dépouillements généalogiques (168 J) Les archives du lieutenant Georges Levasseur (photographies Première
Guerre mondiale, carnets de route) (134 J)
Fonds de l'association Arboleco Gospel (189 J)
Atlas du plan du domaine de Contalmaison en 1900
Un terrier de la seigneurie de Gueschart (1 J 4600)
________________________________________
Février le mois des carnavals
Les origines du Carnaval sont très anciennes puisqu'elles remontent à l'Antiquité. Hérité des saturnales romaines, l'Eglise catholique a dans un premier temps lutté contre des pratiques qu'elle considèrait comme idolâtres puis les a progressivement récupérées et intégrées aux pratiques et croyances catholiques. Au fil du temps et des ordonnances de polices la période s’est limitée en raison des désordres qu’elle occasionnait pour se trouver réduite à Mardi Gras. Jusque dans l’entre-deux guerres, les adultes participent à la mascarade. Au XIXe siècle, avec l'industrialisation, les masques en carton peint, que l'on achète chez l'épicier ou au bazar, font leur apparition.
Quelle que soit la localité, les masqués passent dans le voisinage, avec agaceries et farces, pour obtenir des victuailles avec lesquelles on fera un festin. Les enfants qui participent aux quêtes font le tour du village en chantant à chaque maison.
Partout dans le département il est d’usages de faire des lendimolles (des crêpes) ou des gaufres.
Carnaval est également personnalisé par un mannequin fait de paille et de bois à qui l’on donne le nom de saint Panchard dans l’Amiénois (saint Pansard, personnage burlesque dont le nom provient des trois jours gras ayant contribués à développer la panse). Le soir venu, les jeunes gens le brûlent en dansant et en chantant et aux dernières lueurs du feu il est d’usage d’ôter son masque.